Commencement

Perdu dans la sombre forêt de Hullack, où créature et monstre grouille, le paisible village de Tief, autrefois protégé par ses redoutables rangers, prospère. A présent, de nombreuse famille de bûcheron et de chasseur, n’étant pas concerné par la restriction de chasse appliqué dans la forêt royal, se sont installé dans ce village. Ce simple village d’une 60ène d’habitant où, de multiples évènements ont amené nos trois aventuriers, chacun à la recherche de quelque chose ou de quelqu’un.

Après avoir parcouru la grande route reliant Arabel à Hautelune, nos trois voyageurs ont prit le chemin de Tief, tous séparément. Traversant la rivière de la « sœur dormeuse », Ils arrivèrent finalement à Tief. Nos trois aventuriers se sont ensuite installés dans l’unique auberge de Tief : la « chope perdu ». La nuit était tombé, et alors que chacun d’eux s’occupait de leur affaire respectives, c’est à dire se remplir la panse après avoir parcouru un long chemin durant la journée, un enfant d’un peu plus d’une dizaine d’années entra en haletant, puis il annonça avec un air paniqué :

" Les filles Surcher ont disparu !
- Encore une disparition ! Il faut faire quelque chose ! Qui t’as prévenu mon enfant ? dit le patron de l’auberge.
- C’est Thaer, il livrait du bois quand il a trouvé des traces de sang dans les environs. Avant de partir à leur recherche, il m’a dit de vous prévenir !"

- Et par le marteau de moradin, il a bien fait.

Ronhin se leva et se dirigea vers l'enfant et cet attroupement.

- Que quelqu'un m'explique en vitesse ce qu'il se passe ici ensuite petit tu m'expliqueras le chemin à parcourir pour rejoindre les traces de sang.

Ronhin se mit immédiatement à préparer ses affaires, tout en écoutant les personnes aux alentours. Se disant qu'il aurait peut être besoin d'aide, il héla:

- Et si des personnes se sentant capable de combattre souhaitent trouver le criminel qu'ils viennent se présenter immédiatement, nous n'avons pas le temps d'attendre.

Comme d'habitude, Thorik arborait son air maussade et grincheux. Ce visage résumait bien sa personnalité depuis environ une quarantaine d’années. Il avait changé comme le temps avait changé son corps, vers le gris. De plus, il y avait déjà depuis quelques jours qu’il n’avait pas fumé la pipe cela ne faisait qu’empirer son humeur. Présentement, il est assit à cette table dans ce « trou à rat » perdu comme il aimait appelé tout espace loin des grandes villes et de ces montagnes natales. Il scrute les occupants de la taverne, ce n’est pas le genre à parler et faire des contacts sociaux. Le bruit des conversations parvient à son oreille. Il se demanda ce qui ce passait, peut-être il y aurait du profit à faire. Il se rapproche et voit cet autre nain. Il n’était pas seul représentait du « peuple vigoureux ». Thorik à quand même un certain respect envers les nains, plus qu’en les humains. L’autre nain lui inspire une certaine confiance. Il prend la parole de sa voix nasillarde.

-Pas surprenant qu’il y aille des disparitions, vous laissez le village sans aucune défense. Laissez nous faire, nous, les nains savons nous battre et moi je sais passer inaperçu. Une forêt comme celle là peut abriter des milliers de créatures féroces. N’envoyez pas je ne sais quel villageois incapable.

ayant entendu l'enfant Siegfried ce leva d'un coup et avança vers les personnes déjà présentes

-Je viens avec vous, je serai votre bras armer dans cette foret!
Mais je tien a dire que le nain a bien parler, il n'y a aucunes défenses, n'importe quelle créature peux pénétrer le village et enlever qui bon lui semble...Maintenant laissons parler l'enfant et écoutons ce qu'il a a dire...

Siegfried regarda alors dans la salle pour voir si personne d'autre allai se présenter

Personne d’autre ne se présenta, la taverne était à moitié rempli, mais les occupants, principalement des étrangers de passage se moquaient de ce qui pouvait bien se passer dans ce petit village. Le patron de la taverne, un homme corpulent et relativement costaux, s’approcha du guerrier nain et expliqua.

- Messire nain, ces derniers temps, il y a eut de multiples disparitions. Trois familles, une à chaque mois, les Howel, les Vermousse et les Surcher maintenant. Nous n’avons retrouvé aucun corps et de rare trace de sang. Mais moi et quelque gars, nous avons remarqué des effacements de trace, des zones ou les corps ont été traîné, il n’y avait aucune traces de pas ! Nous en avons conclu qu’elles avaient été effacées.

- Gred, cette fois il y a des traces ! Thaer les a suivit ! Mais il faut faire vite, mes seigneurs, j’ai peur pour mon père, il est fort mais il n’a que son couteau !

- Petit conduit nous vite à l'endroit d'où ton père à commencer à suivre les traces.

Ronhin pensait avoir affaire à un ou deux assassins et il voulait les trouver, il pensait aussi pouvoir le faire seul mais sa mission première, redorer le blason des nains, ne pouvait pas permettre à Ronhin de pourchasser seul ces bandits.

- Et, avant que j'oublie, il y a une organisation qui fait parler d'elle dans les parages?

*Une occasion qui pourrait se révéler intéressante. Faire semblant d’aider ces villageois gratuitement et après demander une petite rançon. C’est sur qu’ils ne débordent pas de richesse mais qui sais, si je les débarrasse de cette menace collective peut-être seront-ils se montrer généreux. De plus, si les assaillants ont un quelconque butin, je vais pouvoir mettre la main dessus. Je vais devoir faire équipe avec cet autre nain on dirait bien. Peu importe.*

Après avoir entendu Rohin, le visage de Thorik regardait tour à tour cet autre nain et le gamin. Maintenant, qu’il voyait une possibilité de profit. Et c’est connu de tous, ce les gens agérable ont tendance à resevoir une plus grosse récompense.

-Salutations, je me nomme Thorrik de Tonnepoudre. J’ai peut-être été un peu rude tout à l’heure, désolé, je me suis emporté de voir à quel point le risque de voir mourir des innocents est grand. L’autre nain conduit nous à ton père, seul nous trois avons l’air d’avoir des capacités de combats.

[Kelen]: Grim je vois dans ton texte des mots manquants... Alors je te suggère de modifier, notamment certaine tournure de phrase dans le dialogue que je n'arrive pas à comprendre... "L'autre nain conduit nous"?
Deuxièmement, n'oubliez pas que les autres personnages ont parlé et donc, ça je le dit pour tous, il ne faut pas répéter ce qu'à dit celui d'avant. Et là tu répète (conduit nous à ton père). Il y a mille façon de faire autrement. Merci.

Hum...deux nain et un enfant...quelle poisse, le premier nain a l'aire de savoir se battre, mais l'autre...Enfin je ne dois pas juger avant d'avoir vu!

Après tout les nains son réputer pour leur vigueur en combat

Dit gamin est-ce loin d'ici ? Car plus nous perdons notre temps a parlottes plus l'ennemi prend de la distance *et avec c'est deux la on risque pas d'aller très vite* et ton père est seul, alors si tu tien un temps sois peu a lui fait vite et conduis nous !

Le gamin regarda longuement Thorik interloqué par ses dires… Puis il se tourna vers Ronhin :

« Je n’ai entendu parler d’aucune organisation mon seigneur, dit l’enfant. Mais vite, mes seigneurs, le messieurs a raison, ajouta-t-il en désigna de la tête le guerrier humain, il faut faire vite ! »

« J’peux pas laisser mon auberge sans surveillance, et puisque vous êtes là, je pourrais éviter ceci, dit l’aubergiste. Je vous fais confiance étrangers, et j’ai entendu de bonne chose sur les nains, alors je vous fait confiance. Bonne chance ! Mais que je n’apprenne pas que vous avez fait du mal à ce pauvre enfant ! S’exclama-t-il. »

Le jeune garçon fila alors à l’extérieur et montra le chemin aux trois voyageurs, ayant tous choisit de l’aider pour une raison différente. La nuit était noire, la lune qui était pleine restait caché par les nuages et les feuillages des arbres encore bien garnis malgré l’hiver approchant. Il faisait froid, et une douce bruisse glacial caressait les feuilles, mais nos trois aventuriers ne furent pas saisi par le froid, ils couraient sur la terre boueuse du fait de la dernière pluie. Le jeune garçon, suivait le sentier menant vers l’Est qui s’écartait petit à petit du village, puis ils longèrent la dormeuse, qui à cette époque était haute. L’obscurité de la forêt se fit d’avantage sentir, ce qui ne gênait en rien les deux nains, dont les yeux luisait dans la nuit. A mi-chemin, une douce pluie se mit à tomber, puis elle s’intensifia rendant le chemin de terre glissant et dangereux. Mieux ne valait-il pas tomber dans la dormeuse, qui à cette saison était glaciale. Heureusement, le groupe quitta la rive en suivant un nouveau chemin menant vers le nord, et s’enfonçant un peu plus dans la forêt. Ils finirent par arriver dans une clairière, avec une maison en bois et en pierre en son centre. Aucune lumière n’émanait de ce point. La pluie s’était un peu calmée, il y avait du vent, et la lune apparaissait par intermittence. A l’Ouest de la clairière, de grand tronc d’arbre jonchait le sol, une scie et une hache était déposée sur le sol. La grande forêt sombre avait un air inquiétant, les grands arbres ne laissaient passer aucune lumière dans certaine zone, surtout avec tous ces nuages.

« Nous y sommes messires, indiqua l’enfant, les traces de sang ont été remarqué sous le haut vent devant la maison. Mon père est partie vers le Nord Est, là bas, dit-il en désignant un gros rocher.

- Bien attends nous dans la maison, nous reviendrons avec ton père. Quand à vous messieurs, allons y et revenons victorieux après avoir pourfendu ces vils asticots.

Ronhin se dirigea donc vers le nord-est au pas, paraissant grand pour un nain, monté sur le cheval.

- Ami nain, vous désirez monter pour aller plus vite?

Ronhin aurait bien proposé pareil à l'humain mais le cheval se fatiguerait trop vite et il ne savais pas pour combien de temps ils en auraient.

Siegfried était étonné par ce nain: un si grand cheval pour un si petit homme..., et comment fait-il pour monter dessus ?...enfin bref, il n'avait rencontrer que très peu de nains durant son voyage.

Siegfried ne dit pas un mot, et suivi le déplacement, en attende du combat, mais il avait toujours un doute sur la qualité de ces deux " demi-hommes " en combat...Et surtout, espérons que l'ennemi ne nous tendra pas de pièges, après tout ce balader dans une foret sombre en pleine nuit...tout est prévisible